Sa position presque adossé au mur de la clôture est de la prison, ses rares ouvertures orientées à l'opposé de la nuée ardente qui se déplace du nord au sud sauve la vie de Cyparis, seul survivant.
Pendant la période politiquement agitée qui suit l'abolition de l'esclavage en 1848, de nombreux orateurs viennent y haranguer le public. Lourdement déficitaire, le théâtre est fermé en 1901.
Depuis 1902, l'édifice a été reconstruit à l'identique (1924) grâce à la contribution financière de Victor Depaz, seul rescapé et riche héritier de la famille exploitant l'habitation du même nom.
De l'ancienne église du Fort, surplombant la mer, ne subsiste qu'un tas de ruines. Les fondations sont encore visibles, des colonnes renversés sur le sol témoignent de la violence de l'explosion.
Ces petites maisons accolées à la muraille de la batterie d'Esnotz, abritaient probablement des entrepôts et des magasins actifs de par la commodité du trafic des marchandises à cet endroit.
Restaurée en 1991, cette ruelle en escalier joint la plate-forme religieuse du quartier de l'église, de la Consolation et du Séminaire collège à l'importante rue Levassor.
Construite en 1839, la maison de santé est le premier hôpital psychiatrique des Antilles. Les soeurs de Saint-Paul qui le dirigent emploient pour soigner, une méthode novatrice : l'hydrothérapie.
Stockage aux hommes hommes qui travaillaient à la construction et à l'entretien des bâtiments militaires et civils. Le bâtiment principal a été restauré et les bassins du jardin ont été dégagés.
